Aujourd’hui, un quart de la population française trouve ses racines à l’extérieur du territoire. Ce sont les enfants, petits-enfants, arrière-petits-enfants d’hommes et de femmes qui ont joint leur destin à celui de la France. Leurs romans familiaux tissent le récit d’une histoire nationale revisitée, reliée à celle du monde et de ses soubresauts.
De la IIIe République traumatisée par la Commune et sa répression, moment auquel fut décidé de bâtir une véritable nation française, aux deux Guerres mondiales du XXe siècle ; des Trente Glorieuses triomphantes aux tumultueuses années 2010, ce livre brosse le portrait d’un pays qui s’est toujours construit sur l’altérité, avec elle, parfois contre elle.
Que ce soit à l’époque des colonies ou aujourd’hui, la France n’a jamais cessé de chercher au-delà des frontières sa main d'œuvre et les ressources qui lui faisaient défaut, tout en inspirant par sa devise, « Liberté, Égalité, Fraternité », l’espoir d’une vie meilleure aux hommes et aux femmes nés ailleurs.
D’Alain Minc à Benjamin Stora, d’Emmanuel Ungaro à Ramzy, en passant par Michel Cymès, Djorkaeff, Cali, Michel Drucker, Camelia Jordana et autant d’anonymes, les descendants d’Italiens, d’Espagnols, de Polonais, d’Arméniens, de Russes, d’Algériens, de Marocains, de Cambodgiens et de Chinois, célèbres ou non, nous racontent leurs histoires familiales et nous entraînent dans leurs destins tantôt flamboyants, tantôt tragiques – toujours humains. Avec en creux une question : de quoi parle-t-on vraiment lorsqu’on parle de la « nation française » ?
De la IIIe République traumatisée par la Commune et sa répression, moment auquel fut décidé de bâtir une véritable nation française, aux deux Guerres mondiales du XXe siècle ; des Trente Glorieuses triomphantes aux tumultueuses années 2010, ce livre brosse le portrait d’un pays qui s’est toujours construit sur l’altérité, avec elle, parfois contre elle.
Que ce soit à l’époque des colonies ou aujourd’hui, la France n’a jamais cessé de chercher au-delà des frontières sa main d'œuvre et les ressources qui lui faisaient défaut, tout en inspirant par sa devise, « Liberté, Égalité, Fraternité », l’espoir d’une vie meilleure aux hommes et aux femmes nés ailleurs.
D’Alain Minc à Benjamin Stora, d’Emmanuel Ungaro à Ramzy, en passant par Michel Cymès, Djorkaeff, Cali, Michel Drucker, Camelia Jordana et autant d’anonymes, les descendants d’Italiens, d’Espagnols, de Polonais, d’Arméniens, de Russes, d’Algériens, de Marocains, de Cambodgiens et de Chinois, célèbres ou non, nous racontent leurs histoires familiales et nous entraînent dans leurs destins tantôt flamboyants, tantôt tragiques – toujours humains. Avec en creux une question : de quoi parle-t-on vraiment lorsqu’on parle de la « nation française » ?